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on the contemporary artist Andre Martins de Barros

 

Certes, se contenter de peu c'est déjà beaucoup! Cependant, la complexité stylistique s'accompagne également d'un climat paradoxal puisque Martins de Barros fait voisiner l'enfer et le paradis, les anges et les démons, la beauté et la laideur dans une ambiance dantesque où il n'est plus question d'appeler Virgile ni aucun autre guide. Perdu dans le chaos, l'homme n'a plus de point d'appui. Il ne faut plus que ses propres forces pour entrer dans l'univers insoutenable de Martins de Barros. Il nous fait pénétrer, avec effroi, dans le royaume des éternités, celui des réalités cachées, obscures et inquiétantes. Et comme pour ne pas rester détaché du réel, Martins de Barros se trouve des liens avec l'actualité, qui vient appuyer ses thèses selon lesquelles nous sommes dans un univers à la fois inquiétant et rassurant, beau et laid, démoniaque et angélique. En effet, les problèmes de violence, de pollution, de tabagisme, de stress, de sida, de racisme et de fanatisme sont utilisés comme références et thèmes pour illustrer ses propos.

Extrait d'un article écrit par Mustapha Chelbi

 

 

 

Entre la poésie et l'inquiétude

La caractéristique essentielle de la peinture de Martins de Barros, c'est que sa thématique, sans qu'il y paraisse malgré les directions qu'on croit fort différentes, se concentre finalement autour de la mort. Allusivement, ironiquement, symboliquement où directement et c'est normal chez un homme qui est conscient que le monde dans lequel il vit - qui est le nôtre aussi, ne l'en détachons pas - court à sa perte, à une autodestruction inexorable. Martins de Barros veut en faire l'approche. Il a en tête et en mémoire la diabolique beauté du champignon atomique et les implacables retombées: ces milliers de morts, ces squelettes, ces estropiés, pire ces monstres dont l'Histoire nous livre , aujourd'hui encore, quarante ans aprés cette apocalypse, les terrifiantes particularités...
Extrait d'un article écrit par Bertrant Duplessis

 

 

Entre l'art et la culture le monde inquiétant de André Martins de Barros

De part le monde, amateurs et collectionneurs ont fait le point sur cet artiste contemporain.
Je viens juste de le connaître et le nouvel observateur que je deviens y découvre un homme de chemin qui trace sa vie avec un art étrange et fantasque. Je vois bien que son art est un face-à-face terrible avec l'humanité et que l'on ne peut y porter la croix que difficilement.
Les échos dans certains magazines m'ont permis de mieux cerner cet artiste ainsi que le monde fou de son imaginaire où voisinent, beauté, laideur, fées et monstres, rappelant à notre conscience les réalités cachées, obscures, voire insoutenables que son art ose et nous montre par sa peinture.
La libération des idées nouvelles est très importante pour la créativité et l'artiste Martins de Barros s'y emploie au grand plaisir de la presse et des médias.
Le parisien que je suis lui porte une admiration inconditionnelle, et vous quitte pour aller humer l'arôme de l'express bien mérité.

Extrait d'un article écrit par J. A.V

 

 

Assurément son univers n'est pas des plus paisibles, il est même parfois générateur d'effroi au sein d'une invention intarissable. Mais comme cette inquiétante vision d'un monde, où il ne fait qu'assez rarement bon vivre,n'élimine ni l'humour ni la poésie, tout bien pesé, c'est volontiers qu'on rêve en présence d'images parfois cauchemardesques.Pétrie de symboles, son oeuvre si attractivement singulière raconte bien des choses, toujours intéressantes, et elle le fait en usant d'un vocabulaire d'une rare richesse, mais cela sans choir dans la littérature, ennemie déclarée de la peinture qui, si elle se doit d'être pensée, doit aussi veiller à ne pas être littéraire (à chacun son dû). Peintre à part entière, Martins de Barros a su éviter les fatals écueils dont les mauvais génies de la peinture parsèment les eaux souvent tumultueuses de tout destin d'artiste.

Extrait d'article écrit par Michel Ciry

 

 

 

Les grandes réflexions en peinture

Si encore l'allégorie adoucit les moments difficiles de la vie, elle est largement représentée dans l'oeuvre de Martins de Barros. Ainsi se sont les instuments de musique qui vont permettre aux elfes et aux ondines de danser dans les airs ou les eaux les complaintes les plus poignantes. Une mandoline sera abandonnée au souffle de l'air, dans une prairie rayonnante de fleurs et d'oiseaux. Un violon vibrera aux soubresauts de femmes-libellules, fidèles à l'enseignement de Terpsichore.
Extrait d'un article écrit par JMB

 

 

 

Force est de reconnaître que Martins de Barros a trouvé une réelle osmose entre la technique et le sujet, entre le contenant et le contenu.Il manipule une technique qui le dégage de l'intemporel véhiculé par le sujet pour l'inscrire dans le temps des hommes. Emporté par ses sujets vers l'imaginaire, il est ramené au réel par sa technique, une technique qui arrive parfois à le rendre présent, contemporain et et actuel. Tant il est vrai que Martins de Barros, dans la fuite du temps profane, a préféré inscrire sa quête dans le passé sublimé. Il a tellement évité le temps qui passe qu'il n'a pu éluder l'appel de la mort... Et il y a dans son oeuvre des face-à-face terrible avec la mort.Hamlet de la peinture, il a osé questionner la mort sur la finalité de l'être et sur l'absurdité du néant.

Extrait d'un article écrit par Mustapha Chelbi

 

 

Manifestant une filiation (dont il aurait tort de rougir) avec Arcimboldo, Martins de barros préfère recourir au corps plutôt qu'aux fruits et légumes quand il décide d'évoquer avec une étourdissante ingéniosité, un visage de patriarche ou la tête d'un cheval en train de hennir dans un déser rocheux

Extrait d'un article écrit par Michel Ciry

 

 

 

 

Ce palois de 50 ans consacre l'ensemble de son oeuvre en des compositions maniéristes impliquant les réalités sociales ou culturelles. Son style fantastique nous plonge au coeur d'un monde irréel ou l'imagerie conventionnelle se fond en une symbolique évoquée par les déformations de corps et visages. en perpétuelle mutation ses oeuvres racontent l'insolite et la réflexion en rupture avec la tradition expressive. Sa virtuosité artistique l'a hissé parmi les meilleurs artistes contemporains.

Extrait d'un article écrit par Daniel Chudet

 

 

 

Avec André Martins de Barros nous sommes dans le domaine de la recherche :la recherche artistique aussi bien qu'intellectuelle et technique. Aucune ne prime sur l'autre. C'est au contraire la trinité pleinement réalisée. Ici on n'oublie pas qu'un chef-d'oeuvre se doit d'être un délice de l'oeil comme de l'esprit, un étonnement toujours renouvelé à chaque lecture, une émotion devant l'inexplicable.Son oeuvre peut s'appréhender tour àtour comme une étude philosophique, une prière ou un défi à l'hu manité. Capable de passer de la peinture la plus métaphysique à la peinture la plus tendancieuse, le leitmotiv qui sous-tend l'une comme l'autre est d'une lucidité implacable face aux ruses tortueuses de notre inconscient individuel ou collectif. Il dépeint les symboles emmagasinés depuis les temps mythologiques et dévoile nos phantasmes les plus secrets. Il est là pour nous mettre devant son image, devant notre image.

Extrait des textes d'un livre écrit par Evelyne Rostan

 

 

En vous baladant sur la butte Montmartre, côté sud, nord-ouest, résidentiel, vous découvrirez un grand nombre d'ateliers d'artistes. Car si la cité des arts et le Bateau-Lavoir se sont retranchés orgueilleusement derrière des grilles et des codes d'entrée, on trouve encore, ici et là, des ateliers ouverts au public. De la rue, on aperçoit André Martins de Barros, penché sur une toile, qu'il traite avec la précision, la minutie et l'adresse d'un miniaturiste. Des toiles en nombre, en vrac, sur les murs, posées à même le sol, sont visibles dans cet atelier-galerie du 102 rue Lepic ; ainsi que des bouquins, des objets insolites, tel ce kota, idole servant aux cérémonies, du Gabon. Au milieu de ce musée enfumé, l'artiste parle de son oeuvre." C'est un mélange de passé, de présent... Du surréalisme à messages. " Les obsessions du peintre s'appellent magie, fantastique, S.-F. La notoriété de Martins de Barros a passé les frontières, jusqu'en Hollande, en Espagne , et les Américains forment quatre vingt pour cent de sa clientèle

Extrait d'un article du magazine " Paris Capitale

 

 

 

Les questions philosophiques d'André Martins de Barros sont les recherches essentielles de la vie qu'il nous propose en images. La peinture n'est qu'un prétexte pour rendre compte de l'échelle humaine et de nous apprendre à rester à notre "place" par rapport à l'ensemble de l'univers. Cette leçon trés pascalienne nous invite à l'introspection, à la pensée sur le temps, sur les limites de l'homme, sur la décadence et aussi sur la mort. Si le vieillard à la barbe sage, au regard méditatif tient un sablier dont il voit tomber les cendres du temps, les deux hémisphères de verre nous rappellent le poème de Baudelaire "Un hémisphère dans une chevelure" . La chevelure de l'ascète ici pourrait être comparée à "tes cheveux contiennent tout un rêve, plein de voilures et de mâtures : ils contiennent de grandes mers dont les moussons me portent vers de charmants climats, où l'espace est plus bleu et plus profond" (Le spleen de Paris).

Extrait d'un article écrit par JMB

 

 

 

Les êtres humains qu'il dépeint de façon saisissante représente pour lui une souffrance jamais anesthésiée : comment parvenir à en manifester les différents plans ? comment réussir à en révéler l'intériorité sans faillir ? Ces êtres humains aux multiples facettes, expressions microscopiques de l'Univers ne sont-ils pas les moteurs d'in monde crée jadis par l'esprit du temps, esprit plus énigmatique que divin, entité plus ambiguë qu'infaillible ! Comme le dit lui-même Martins de Barros ; "Tout cela devrait inciter les artistes, qu'ils soient peintres ou sculpteurs, à beaucoup plus d'humilité devant la vie.


Extrait d'un article écrit par Patrice de la Perriere

 

 

 

 

 

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